L’étang de Maulny

Quoi de mieux pour se mettre dans l’ambiance des vacances qu’un pique-nique au bord de l’eau.

Petit à petit, les participant(e)s arrivent et découvrent les belles tables déjà installées.

 

Et les plats prennent place sous la tente…

 

… les réjouissances peuvent commencer.

 

Cette année, notre Maire, Mr Bouche, et Mme Digard nous font le plaisir de partager cet évènement festif.

 

 

 

 

 

A l’heure du thé ou café et des gâteaux

Il faut couper les gâteaux !

 

 

Débouchons le champagne et remplissons les verres, nous avons un évènement à souhaiter cette année

Bon anniversaire Evelyne !!!

 

Encore quelques discussions pour retarder le moment de se séparer…

…c’est fini.

 

 

 

Le grand jour est arrivé, l’aboutissement de dizaines d’heures de répétitions. L’émotion est à son comble cette année car … pour la première fois, la Fête de la Musique de l’association a lieu au Centre Culturel !!!

L’espace offert par cette salle a permis d’augmenter le nombre de participants. C’est ainsi qu’une classe du collège Marthe Simard a pu se joindre à l’école Barbara et à une classe du collège Jacques Monod. Près de 300 enfants accompagnés de leurs enseignants ont fait de cette fête un évènement intergénérationnel fantastique. Mais, tout cela n’aurait pas pu se produire sans l’aide des techniciens du Centre Culturel. Merci à tous.

 

Ouverture du spectacle par Mme Caroline Digard  adjointe au Maire

 

La première partie débute par la chorale des Citadines avec : ” Aline ” puis ” For me formidable ” et ” Foule sentimentale “.

 

La classe du collège Marthe Simard entre en scène avec ” Soulman ” puis ” Né quelque part “, ” La vie en rose ” ( accompagnée de la chorale des Citadines ), ” Hit the road Jack “.

” La vie en rose “

 

Première interprétation en solo :  Juliette avec ” La tendresse “, ” Qui a le droit “, ” Aimer à perdre la raison “.

 

La classe représentative du collège Jacques Monod intervient à son tour avec :  ” Aladin-Nuit d’Arabie “, ” Tournent les violons “, ” La grenade “.

 

Nouveau solo avec Bernard : ” J’ai oublié de l’oublier “, ” Portrait de Norman Rockwell” ( mimée par Claudine ), ” Sur la route de Memphis “, ” La dernière séance”.

 

Un entracte de 10mn permet aux enseignants et aux enfants de l’école Barbara de s’installer pour présenter un extrait de leur conte musical ” Un poirier m’a dit “.

Les décors, la mise en scène, les récits, les chants : tout est une magnifique réussite.

 

Après cette prestation, un problème technique interrompt un moment le déroulement du spectacle.

Intervention efficace des techniciens

Ouf, c’est réparé. En scène Dominique, avec ” Laura “, puis Claudine, avec  “Maintenant “, et le duo Dominique-Bernard, avec ” Le cimetière des éléphants ” !

 

Retour de la chorale du collège Marthe Simard : ” Ella, elle a “, ” Quelque chose de Tennessee ” avec Bernard, ” Stand by me “, ” Parce qu’on vient de loin ”

La chorale des Citadines accompagne leur dernière prestation d’une petite pointe d’humour. A leur apparition, un tonnerre d’applaudissements souligne combien l’originalité de leur ” look ” est appréciée.

” Poupée de cire, poupée de son “, ” Paroles. Paroles ” avec Bernard, ” Ma préférence “.

 

Accompagné par le public, Bernard interprète son dernier solo : ” Ma main au feu ” ,  ” J’ai besoin d’un ami “et ” On veut des légendes “.

 

La chorale du collège Jacques Monod clôture cette grande manifestation intergénérationnelle : ” Dégage “, ” Toute la musique que j’aime “.

 

En remerciement pour leur participation, chaque élève reçoit un petit ballotin de friandises, confectionné par Lydia.

 

 

 

 

 

Petit attroupement à 7 heures du matin sur le parking du Centre Culturel… Que se passe-t-il ??? C’est simplement le rassemblement de membres de l’association ” Les Citadines de Villeparisis ” pour une sortie en covoiturage. En route pour Giverny ! Le soleil est de la partie.

Arrivés sur place, nous commençons par aller prendre un petit café sur la terrasse du restaurant ” Les nymphéas ” où nous déjeunerons plus tard. Nous voilà en forme pour démarrer la visite de la maison de Claude Monet et de son jardin. Bien qu’il soit tôt et que nous ayons nos billets d’entrée, une longue file d’attente s’étend devant nous. Courage ! Enfin nous arrivons sur le site et l’enchantement commence.

 

 

Retour d’abord sur le passé.

Grâce à l’achat, par son ami Caillebotte, de quelques uns de ses tableaux, Claude Monet peut acquérir à Giverny, en 1883, une petite demeure appelée ” maison du pressoir ” .

Monet l’agrandit de chaque côté pour pour en faire une longère de 40 m de long sur 5 m de large. Toutes les fenêtres donnent sur le jardin. Une seule exception dans la chambre d’Alice où se trouve aussi une fenêtre sur la rue.

Après sa mort en 1926, c’est sa belle-fille Blanche Hoschedé qui veille sur la propriété.

Suite aux bombardements de la seconde guerre mondiale, la maison est très abimée mais, grâce à des dons généreux en majorité américains, elle est restaurée.

 

Nous pénétrons dans cette maison pleine de souvenirs par la porte de gauche qui ouvre sur l’atelier de Claude Monet. De là, nous accédons au premier étage.

 

Chambre de C.Monet

 

 

Petite pièce entre les 2 chambres ( 2 entrées )

 

 

Fenêtre sur rue

Fenêtre sur jardin

Chambre d’Alice

 

 

Allée centrale avec les ifs , couverte d’arceaux sur lesquels courent les rosiers

Vues prises de fenêtres du premier étage

 

Après avoir admiré la chambre d’Alice, nous prenons un escalier qui nous ramène au rez-de-chaussée. Nous atteignons alors la salle à manger jaune flamboyant ( couleur voulue par Monet ), puis la cuisine attenante.

Coup d’oeil sur les rosiers le long de la balustrade

 

La salle à manger

 

La cuisine

 

Sortons par ” la porte de service ” et partons admirer ce jardin entièrement imaginé par Monet !

Mais avant, quelques explications…

Le jardin est divisé en deux parties : le clos normand et le jardin d’eau.

En 1883, le terrain s’étend de la maison jusqu’à la route. Il est planté de vergers et une allée centrale ombragée par des sapins le traverse. Monet fait abattre les sapins et ne conserve que les deux ifs près de la maison. Il transforme alors le jardin en riches perspectives, en symétries et en couleurs. Il assemble les fleurs en fonction de leurs couleurs et les laisse pousser librement.

En 1893, Monet achète le terrain voisin de l’autre côté de la voie de chemin de fer. Ce dernier est traversé par un petit cours d’eau. Monet y fait creuser un premier bassin. Autour il y cultive nénuphars, roseaux et iris de différentes variétés. Par la suite, il l’agrandira en s’inspirant des jardins japonais qu’il connait par les estampes japonaises dont il est grand collectionneur.

Fleurs d’ail

 

Pavots, roses violettes, …

Iris en premier plan

Iris de couleurs variées

 

Nous quittons un moment le clos pour découvrir le jardin d’eau. L’accès se fait par un souterrain qui passe sous la route. A son époque, Monet, muni de son chevalet et de ses peintures, devait franchir la voie de chemin de fer et traverser le chemin du Roy. Toute une aventure !

 

La forêt de bambous

Après le franchissement du petit cours d’eau, le bassin principal apparaît.

Pivoine

Rhododendron rouge

Saules-pleureurs et nymphéas

 

Digitales

 Quelques découvertes en suivant la berge

 

A chaque pas de nouvelles plantes, de nouvelles compositions de couleurs mais, soudain, apparaît le plus célèbre lieu immortalisé par ” 45 ” oeuvres de Monet … Le pont japonais sur lequel courent les glycines. Ce dernier a du être reconstruit par une entreprise de Vernon, par contre les glycines qui s’y trouvent actuellement ont été plantées par Monet.

Mais poursuivons la promenade !

Pavot et Juliennes

Cela reste beau grâce à leur travail

Peu après nous retrouvons l’entrée d’un souterrain qui nous ramène dans le clos normand.

Pivoines simples

Des roses anciennes ( donc très odorantes )

 

L’heure du rendez-vous au restaurant approche. Il est temps de quitter ce lieu d’émerveillement pour nos yeux et, maintenant, de penser à nos papilles.

Bon appétit à tous !!!

 

 

A la sortie du restaurant, grande réunion pour faire le point sur le choix de chacun pour organiser le temps libre. Une idée est proposée : prolonger par une promenade à la Roche- Guyon et son château. Finalement, seule une partie du groupe part vers l’église Sainte Radegonde et la tombe de Claude Monet.

 

Eglise Sainte-Radegonde

L’église est d’origine romane et sa partie la plus ancienne date de la fin du 10ème siècle. Le reste de l’édifice a été construit entre le 14ème et le 16ème siècle.

Lors de sa restauration, entre 2008 et 2010, des éléments peints ont été révélés.

 

Dans le choeur : peinture en bois du 17ème

A gauche : statue en pierre de Ste Radegonde

Vitrail contemporain de Sainte Radegonde

 

Dans le cimetière attenant à l’église, près du chevet, se trouve la tombe de Monet. Le dessus est couvert d’une multitude de fleurs évoquant celles de son jardin.

 

C’est Monet qui a acquis cette grande concession en 1891 pour y faire enterrer Ernest Hoschedé (1er mari d’Alice ).

Puis suivront : Suzanne Hoschedé ( 1899 ), sa deuxième femme Alice ( 1911 ), son fils Jean Monet ( 1914 ), Monet lui-même ( 1926 ), Blanche épouse de Jean ( 1947 ), Gabrielle femme de son plus jeune fils Michel ( 1961 ). Le dernier à y être inhumé est Michel en 1966.

 

Mais, maintenant, laissons ce beau village et ses souvenirs et reprenons les voitures pour nous rendre au château de La Roche-Guyon.

Situé sur la rive droite de la Seine, adossé depuis le Moyen Âge à la falaise de craie, cette ancienne forteresse s’est métamorphosée au fil des siècles.

Le château est relié au donjon médiéval qui le domine par un souterrain creusé dans la roche.

 

 

 

Pour terminer agréablement cette belle journée, allons nous rafraîchir à une terrasse au bord de la Seine.

 

L’établissement, le bien nommé, ” Les berges de la Seine “

Quelques uns d’entre nous y ont dégusté un jus de pomme local. Quel régal !

 

Quelques vues de la Seine prises d’un promontoire

 

Il faut songer, hélas, à abandonner cet agréable endroit…

 

Au revoir

 

PS : un grand merci aux chauffeurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le risque de pluie et le petit volume de plantes au début, vers 14h30 tout s’est arrangé. Le ciel a viré progressivement du gris sombre et pluvieux du matin au grand soleil deux heures plus tard.

A ce moment, avec la présence d’une dizaine de Citadines et de quelques exposants extérieurs dont un nouveau très fourni et intéressant, l’étal s’est soudainement bien achalandé.. En plus des habitués, de nombreux visiteurs venus là à l’occasion des autres ateliers de la Journée de la Terre ont découvert notre Troc et sont repartis avec quelque chose.

De belles rencontres ont été faites dans l’ambiance habituelle sympathique et conviviale.

 

 

 

 

 

 

Pour terminer ce bel après-midi, les participants ont pu prendre une petite collation : café, thé et gâteaux.

 

Merci à Lydia, Zorhia, Juliette et Christiane qui nous ont régalés de leurs thés, cafés et gâteaux faits maison.

Merci aux équipes municipales pour leur implication pour nous.

 

P-S : texte de Gérald ; photos de Lydia, Christiane et Gérald

 

 

 

Retour en ce 30 mars, d’une manifestation intergénérationnelle que les membres de l’association apprécient particulièrement : l’Arbre mémoire. Un Gingko biloba, planté en 2004, en est le symbole.

 

Cette année, nous avons, une nouvelle fois, le plaisir d’accueillir des enfants de l’école Barbara et de la Gabrielle.

Tout le monde étant installé, la réunion commence par un moment très attendu : la découverte de son ou sa correspondante. En janvier, chaque élève de la classe  d’Emmanuelle a confectionné et rédigé une carte de voeux pour  chaque membre des Citadines, à laquelle chacun et chacune a répondu.

 

 

 

Dans le cadre de ” la semaine des poètes “, la rencontre se poursuit par la lecture de sept poèmes écrits par le poète de l’association, Gérard Cazé.

 

 

Un agréable intermède suit avec des chants de la chorale de l’école Barbara à laquelle des enfants de la Gabrielle se sont joints.

Puis c’est au tour de la directrice et d’Emmanuelle de lire des poèmes créés par les enfants

 

Les membres des Citadines écoutent à nouveau, toujours avec le même plaisir, quelques chansons.

 

Un beau final

 

Après cette belle représentation, les enfants ont prévu une surprise… Remettre une rose à chacun de leur correspondant !

 

 Profitons de cet éclatant soleil pour faire la photo souvenir !

 

Avant de repartir, venez reprendre des forces ! Christiane, Danielle, Evelyne, Ginette, Jocelyne, Lydia et Marie-Thérèse vous ont préparé plein de bonnes choses. Il y en a pour tout le monde.

 

Attendez les enfants ! A notre tour de vous faire une surprise… Des petits sacs de friandises, confectionnés par Danielle et Lydia, vont vous être remis en souvenir de ce bel après-midi.

 

L’heure de se quitter a sonné. En route !

” Au revoir “

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Attention ! La cloche a retenti. La représentation va commencer…

 

 

Silence ! Les comédiens entrent en scène…

 

Attaque d’une banque ( Claudine, Nathalie, Eveline, Simone B, Simone T )

 

Toto turbulant ( Eliane, Gérald )

 

La conductrice d’un camion ( Simone T, Eveline ) La demande en mariage ( Simone B, Nathalie, Claudine )

 

La voleuse de poule ( Eliane, Simone T ) A une réception ( Claudine, Eveline, Gérald )

 

La condamnée à mort ( Claudine, Eveline, Nathalie, Simone B, Simone T, Gérald )

 

Perdue dans la forêt ( Eveline, Nathalie ) Deux amies bavardent ( Simone B, Simone T, Nathalie )

 

Charité ( Eveline, Gérald, Claudine )

 

Sous la Tour Eiffel (Claudine, Eveline, Nathalie, Simone B, Simone T, Gérald )

 

Bravo! Bravo!

 

Accident sur la route (Eveline, Nathalie )

 

 

Au bureau ( Simone T, Claudine, Gérald )

 

Anniversaire ( Nathalie, Gérald )

 

 

Vie au paradis ( Simone T, Simone B ) Besoin d’un emprunt ( Eliane, Gérald )

 

L’homme invisible ( Claudine, Simone B, Eveline )

 

Dans la cour d’un asile ( avec toute la troupe )

 

C’est fini…

 

 

 

Eliane et sa troupe sont chaleureusement applaudies

Quelle représentation !!! Une telle qualité est le fruit d’un grand travail. Encore bravo.

 

Pour prolonger cet agréable moment, allons déguster les succulentes crêpes préparées par Evelyne, Zoria, Christiane et Danièle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tradition oblige, après la réunion plénière du mois de janvier, c’est la dégustation des galettes.

Les galettes sont chaudes, nous allons pouvoir les couper.

… mais certains travaillent encore

 

L’heure de la distribution approche

 

Un petit verre de cidre pour accompagner ? Attention : n’avaler pas la fève !

 

Vive la Reine !

 

 

 

Il est de retour… Mais qui ? Plutôt quoi? Le temps de déguster avec les ami(e)s le Beaujolais nouveau !

Pour faire honneur à cet événement, tout commence par la mise en place d’une belle table. Comme chaque année, un petit groupe de Citadines y a réfléchi et a créé les décorations. Admirons leur travail…

 

 

 

Préparations de l’apéritif

 

 

 

Tout est prêt. Les festivités peuvent commencer. Malheureusement, malades, Juliette et Evelyne, qui ont tant oeuvré pour composer le repas, n’y participeront pas.

 

 

 

 

 

 

Le repas se termine mais il manque quelque chose pour que la fête soit complète… le récital de Bernard.

” Bernard, Bernard, Bernard… ” Nos demandes le décident.

 

 

Après ces belles chansons si bien interprétées, il faut se dire ” Au revoir “.

Avant de partir, quelques Citadines restent pour participer aux corvées : vaisselles, rangements et nettoyages des lieux.

Merci à tous ceux et toutes celles qui ont fait de cet événement une belle réussite.

 

 

 

 

Grosse angoisse pour les participants en raison des difficultés d’approvisionnement en carburant.  Ouf… Le car arrive. En route !!!

 

Arrivée sous un soleil magnifique

Première étape de la journée : la visite de la cathédrale.

 

Rencontre avec la guide Maison des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle

 

Construite au 13ème siècle, elle succède à une église plus petite déjà étape du pèlerinage de St Jacques de Compostelle. Elle a été agrandie pour abriter une relique très précieuse : la tête de St Jean-Baptiste achetée à Byzance. Cette relique attire alors de nombreux pèlerins, source de revenus appréciables.

Par ses dimensions, c’est le plus vaste édifice gothique de France :145m de long, 70m de large et la plus haute nef du monde. Le peuple ne sachant pas lire, le seul moyen de faire connaître ” l’histoire sainte ” était de la sculpter comme une bande dessinée pédagogique.

 

Au cours du nettoyage de la cathédrale ( 30 ans ), des traces de la polychromie qui couvrait les édifices religieux au moyen-âge ont été mises à jour., par exemple du bleu et du doré sur le vêtement de la Vierge.

A droite de la Vierge : les statues représentent des épisodes de sa vie ( l’Annonciation avec l’Ange Gabriel… )

A gauche : les Rois mages, Hérode, la reine de Saba.

 

Le portail central est consacré à Jésus ” Le Beau Dieu “. Le nettoyage a révélé des yeux bleus.

Au-dessus de la statue : le Jugement dernier, Jésus sépare les bons des méchants, ces derniers sont poussés violemment par un diable dans la gueule d’un animal vorace. Sur le dernier étage du portail, les bons entrent au Paradis tandis que les méchants brûlent dans la chaudière.

A gauche de la statue: les Apôtres dits ” manuels ” avec les instruments de leur supplice ( St Pierre et sa croix )

A droite : les Apôtres dits ” intellectuels ” ( St Paul et son épée )

Sur le dernier portail : Saint Firmin venu d’Espagne  a évangélisé la région d’Amiens au 3ème siècle et y a subi le martyre.

 

L’intérieur surprend par sa grande clarté. Cela est dû aux nombreuses ouvertures. Beaucoup de vitraux ont été détruits au cours de deux catastrophes.

La nef est la plus haute des cathédrales françaises : 42,50m.

 

 

Les clôtures de choeur ( 15ème siècle ) du côté sud racontent la vie de St Firmin, entre autre sa décapitation ( bourreau habillé de couleurs agressives ) et la découverte de son corps intact trois siècles après sa mort par St Sauve.

Quelques vitraux subsistent heureusement. Certains sont authentiques, d’autres restaurés et enfin d’autres modernes ” à la manière de ” .

 

La clôture de choeur du côté nord évoque la vie de St Jean- Baptiste reconnaissable à sa tunique en peau de mouton.

 

Tombeau en bronze du premier évêque bâtisseur Evrard de Fouilloy ( de 1220 à 1222 )

Centre du labyrinthe

Les pèlerins, qui ne pouvaient pas se rendre à Jérusalem parcouraient le labyrinthe à genoux ( 234m )

Entre le 21 et 24 juin, vers 8h45, un rayon de soleil traverse la cathédrale de part en part en suivant l’orientation d’une des branches de la croix.

 

Notre guide est passionnante mais nous avons un autre rendez-vous. Il est temps de partir pour le restaurant.

Un peu de marche… Pas le temps de s’arrêter pour profiter de certains lieux sur le parcours qui nous mène au quai Belu !

Le restaurant ” Le Quai ” où nous déjeunons est situé dans le quartier Saint Leu, au bord de la Somme.

Nous avons hâte de découvrir quelques plats régionaux : ficelle picarde, pâté picard, Potjevleesch à la bière Anosteke, rabote picarde par exemple.

Potjevleesch

Après avoir repris nos forces, nous rejoignons le lieu de départ pour la visite, en barque, des Hortillonnages.

 

Pas d’inquiétude, il y a des gilets de sauvetage

Un sympathique batelier nous explique que les Hortillonnages s’étendent sur 300ha dans un lacis de canaux alimentés par la Somme et l’Arve. Ces jardins sont d’anciens marais drainés par les Romains qui les cultivaient. Au siècle dernier, un millier de maraîchers, les hortillons, vendaient aux amiénois leurs fruits et légumes. Au début des années 70, ils ont créé une association afin de s’opposer à un projet d’assèchement pour y construire des routes. Actuellement, dans ce site ” classé “, il ne subsiste plus que 4 maraîchers. Des maisons de week-end, des arbres fruitiers et des fleurs les ont remplacés.

Au cours de notre promenade, nous croisons un héron cendré, des grèbes huppées et des canards à col vert.

 

Sur cette photo, au fond, nous apercevons la flèche de la cathédrale. Datant du XVIème siècle, haute de 112,70 m, elle est recouverte de feuilles de plomb et Violet Le Duc l’a utilisée comme modèle pour construire celle de Notre Dame de Paris.

Et encore quelques vues…

 

Après cette merveilleuse promenade, nous disposons d’une heure avant de rejoindre notre car.

Beaucoup de participant(e)s en profitent pour effectuer quelques emplettes gourmandes au magasin ” Trogneux “”, chocolatier et réalisateur des fameux ” macarons d’Amiens ” depuis 1872.

L’arrière de la cathédrale et la Place St Michel

 

L’heure du retour a sonné !

 

 

 

P-S : merci à Françoise, Gérald et Marilyne pour leur participation.

 

 

 

 

Quelle angoisse ce matin du 1er octobre pour les membres des ” Citadines de Villeparisis ” ! Une pluie battante menaçait leur circuit pédestre. Peu avant l’heure de la mise en route de cette manifestation, un participant très attendu apparaît… Le soleil !!!

Les équipes sont constituées. L’équipe 1, après avoir résolu la première énigme, part : direction l’étape un, tout en réfléchissant pour trouver le mot de passe. ” Fleuves et cours d’eau en Seine-et-Marne ” en est le thème.

 

” Voilà une joyeuse équipe qui arrive … “

 

Petit à petit, les participants atteignent la dernière étape.

L’étape finale Arrivée d’une équipe Une viennoiserie ? Une  boisson ?

 

Grâce à la participation de la ludothèque, les enfants peuvent profiter de jeux en attendant que toutes les équipes soient présentes. Parents, ami(e)s discutent.

 

 

Le tirage de la tombola va bientôt commencer. Rentrons !

Discours de Mr Tissot Discours de Mme Abreu Discours de Mr Bouche

Remerciements, plaisir de participer y sont exprimés.

 

Le tirage de la tombola commence. Chaque participant, parent ou enfant, récupère un lot.

 

Un apéritif dinatoire pour les membres des Citadines et leurs invité(e)s termine cet après-midi très convivial.