Il est 7h du matin, il fait nuit. Quelle agitation devant le Centre Culturel ! Allez les Citadines, montons dans le car et en route pour notre sortie annuelle !

Quelques bénévoles du Secours populaire, fidèles participantes, et des membres de l’association ” Ensemble et solidaire ” se sont joint(e)s à nous pour découvrir Lille.

Arrivés à destination, nous faisons un bref arrêt devant l’Office du tourisme pour accueillir le guide qui va faire le commentaire du ” circuit panoramique “.

Il nous explique l’origine du nom de la ville.

          C’est en 1066 que le nom ” L’Isle ” apparaît dans une charte de dotation de la collégiale Saint-Pierre par Baudouin V, comte de Flandres, propriétaire d’un château sur une ile de la Deûle.

D’ailleurs,au cours du parcours, nous longeons pendant un moment une grande aire de promenade ombragée aménagée sur les berges de la Deûle .

La Porte de Paris Le Beffroi

La Porte de Paris : cet Arc de Triomphe a été érigé de 1685 à 1692 pour célébrer la prise de la ville par Louis XIV en 1667 ; il remplace l’ancienne Porte des Malades qui s’intégrait dans l’enceinte, depuis le Moyen Age. Côté faubourg, c’est une arcade décorée des armes de Lille (un lys) et de la France (deux lys) avec, au sommet, un médaillon représentant la Victoire qui s’apprête à couronner Louis XIV. Côté ville, la porte ressemble à un pavillon.

Le Beffroi : inauguré en 1932 ; c’est le plus haut ( 104m ) beffroi civil d’Europe, de style Art.déco et architecture néo-renaissance flamande, en briques rouges et béton “façon pierre sculptée “, surmonté d’un phare tournant ; il est classé au Patrimoine mondial de l’U.N.E.S.C.O.

Nous voilà de retour à l’Office du tourisme. Tout le monde descend …

Quelques renseignements concernant l’Office : il est hébergé dans le Palais Rihour qui fut construit par le duc de Bourgogne, Philippe Le Bon, au XVème siècle.

 

Et maintenant, poursuivons à pied…

 

Au cours de la traversée de ce grand terre-plein, le guide signale que Lille s’enorgueillit du premier métro entièrement automatisé mis en service en 1983.En face, la rue de Béthune où se situe le restaurant ” Aux moules de Lille ” Sur l’arrière de l’Office, la chapelle de l’ancien palais Rihour.

Continuons d’avancer ! Nous atteignons la Grand’Place (place du Général-De-Gaulle) au centre de laquelle se dresse la colonne de la Déesse (3m de haut) érigée en 1845. Elle tient un boutefeu qui symbolise la résistance héroïque de la ville lors du siège par les Autrichiens, en 1792, et porte une couronne représentant les remparts.

 

Cette place est une vrai merveille. Nous y découvrons un ensemble de différents styles allant du baroque à la renaissance flamande mais qui s’harmonisent.

Sur la droite, la plus grande librairie de France à l’enseigne du Furet de France

Mais quel est ce magnifique bâtiment derrière lequel nous apercevons le Beffroi ?

Approchons nous !

Au-dessus de la fenêtre droite est gravé 1653, date de la construction

C’est la Vieille Bourse, un édifice richement décoré dans le style baroque dont la cour intérieure rectangulaire abrite fleuristes et bouquinistes construite en 1653 à la demande de commerçants, entourée de 24 maisons à mansardes. Au-dessus de la porte, nous voyons l’emblème de la ville (une fleur de lys bleue sur fond rouge) encadré de deux lions.

Sur cette même place, nous découvrons le siège général du quotidien “La voix du Nord”. Au sommet de ce bâtiment figure trois femmes. ce sont les Trois Grâces qui représentent les trois provinces de la région : Artois, Flandre et Hainaut. Sous chaque fenêtres est gravé le nom de la ville d’un correspondant.

 

Nous voici maintenant sur la place du Théâtre.

Opéra de Lille, début du XXème, de style néo-classique

Représentation du Sonneur de cloches qui, autrefois, annonçait l’ouverture de la Bourse Nouvelle Bourse (chambre du commerce) avec Beffroi, de style néo-flamand, et son carillon qui sonne aux heures d’ouverture

Nous terminons la visite par la rue Esquermoise bordée de maisons du XVIIème et XVIIIème. Sur la maison de l’angle, le guide attire notre attention sur sa façade. Deux boulets de canon y sont incrustés, vestiges de batailles sous Louis XIV, et qui n’ont pu être extraits lors de la restauration. Il nous fait aussi remarquer les statues : les statues couples qui s’embrassent ou se tournent le dos délimitent des appartements.

En face, à l’angle de la rue Grand Chaussée, une belle enseigne dorée est accrochée sur le bâtiment. A cette époque, les maisons n’avaient pas de numéro et les enseignes permettaient d’identifier leurs habitants.

Il est l’heure de quitter notre sympathique guide pour rejoindre le restaurant “Aux moules de Lille”. Situé près de la Grand’ Place, c’est une brasserie dans un cadre 1930 (art déco.)

 

Après une pause bien agréable, nous repartons pour une visite de l’Hospice Comtesse fondé par Jeanne de Constantinople, comtesse de Flandre. Elle fit édifier un hôpital, en 1237, pour le salut de son mari Fernand de Portugal prisonnier à Bouvines. Ce bâtiment incendié en 1468 est reconstruit plus grand au XVIIème et XVIIIème siècle. Il devient un hospice en 1789 puis un orphelinat. Actuellement, c’est un musée régional d’Histoire et d’Ethnographie, un lieu d’expositions et de concerts.

Nous franchissons un splendide portail à bossages de 1649 et pénétrons dans la cour.

La visite débute dans l’aile droite de la fin du XVème et surélevée au XVIIème. Meubles et objets d’art évoquent l’atmosphère d’une fondation pieuse du XVIIème.

La cuisine est revêtue de carreaux bleutés de Hollande et de Delphes

Derrière les deux portes du haut se trouve l’endroit où les denrées étaient fumées.

Dans la salle à manger, nous pouvons admirer une oeuvre de Jan Brueghel l’Ancien : médaillon avec Vierge à l’Enfant. Il est le créateur d’un motif de décoration, celui de la guirlande sacrée entourant une Vierge à l’Enfant. Grand connaisseur en botanique, il est réputé pour avoir peint fidèlement plus de 200 espèces de fleurs.

Dans cette même salle se trouve une cheminée dont le manteau baroque encadre une Nativité du XVIème siècle.

La salle suivante est le parloir orné de sobres lambris. Des ex-voto (remerciements de riches familles pour la guérison d’enfants) du XVIIème, une collection d’objets et pots pour la pharmacie, une toile évoquant un moment de la vie des religieuses, des portraits de bienfaitrices dont un de Jeanne de Constantinople y sont rassemblés. Une petite pièce, rare pour l’époque, est particulièrement remarquée: des toilettes !

Remarquez l’encadré qui donne le “mode d’emploi”

Le salon de la Prieure, tout en boiseries Louis XIV, fait suite.

Vue sur le jardin de simples, plantes aromatiques et plantes médicinales

 

Dans la pièce suivante : la presse pour repasser les draps

Nous nous rendons ensuite au premier étage. Cet ancien dortoir au plafond à poutres sculptées présente peintures flamandes et hollandaises du XVIIème , etc…

Globe céleste avec les signes du zodiaque

Globe terrestre

Mais le temps passe. Il va falloir rejoindre le lieu de rendez-vous avec notre car. Avant, certains en profitent pour revoir quelques belles et riches boutiques ou faire des achats. Un petit groupe décident de pousser jusqu’à la cathédrale Notre-Dame de la Treille.

 

L’impression générale sur Lille : c’est une très belle ville, vivante, pleine d’énergie, avec beaucoup de touristes et d’étudiants de toutes nationalités, avec des commerces animés dont certains très luxueux.

Un exemple : la pâtisserie Méert où le Général de Gaulle, né à Lille et résident jusqu’à 16ans, venait acheter ses gaufres

 

P-S : merci à Annie-Claude pour sa participation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        Contrairement à l’an passé, c’est une trop grosse chaleur que les membres de l’association redoutent pour les participant(e)s du 22ème circuit pédestre.

        Actualité oblige, les mots de passe à trouver ont pour thème ” Les jeux olympiques ” et le parcours, au fil des énigmes, fait découvrir les sites sportifs de notre ville.

Passage d’une équipe à l’étape 4 ( piscine ) La onzième équipe

 

        Profitons de l’attente de l’arrivée de toutes les équipes pour “papoter ” ou pour faire quelques jeux grâce à la participation de la ludothèque.

 

       Toutes les équipes sont là.Tout le monde a pu reprendre des forces grâce aux goûters et boissons. Les préparatifs de la tombola s’achèvent…

 

         Bernard, président de l’association, remercie Mr Bouche, maire de Villeparisis, et Mme Abreu, conseillère départementale, pour leur présence et leur participation. Il remercie également, après les avoir nommés, tous les partenaires qui, chaque année, permettent d’organiser une tombola gratuite.

 

          Le tirage de la tombola commence. Chacun va repartir avec un lot mais qui aura le gros lot …

 

Le gros lot a été tiré. Qu’est-ce-que c’est? L’heureuse gagnante

 

          La manifestation est terminée. 

          Un apéritif, préparé par Evelyne, Lydia et Christiane, réunit tous ceux et toutes celles qui ont permis de réaliser un grand moment de convivialité.

 

 

 

 

 

 

 

L’étang de Maulny

Quoi de mieux pour se mettre dans l’ambiance des vacances qu’un pique-nique au bord de l’eau.

Petit à petit, les participant(e)s arrivent et découvrent les belles tables déjà installées.

 

Et les plats prennent place sous la tente…

 

… les réjouissances peuvent commencer.

 

Cette année, notre Maire, Mr Bouche, et Mme Digard nous font le plaisir de partager cet évènement festif.

 

 

 

 

 

A l’heure du thé ou café et des gâteaux

Il faut couper les gâteaux !

 

 

Débouchons le champagne et remplissons les verres, nous avons un évènement à souhaiter cette année

Bon anniversaire Evelyne !!!

 

Encore quelques discussions pour retarder le moment de se séparer…

…c’est fini.

 

 

 

Le grand jour est arrivé, l’aboutissement de dizaines d’heures de répétitions. L’émotion est à son comble cette année car … pour la première fois, la Fête de la Musique de l’association a lieu au Centre Culturel !!!

L’espace offert par cette salle a permis d’augmenter le nombre de participants. C’est ainsi qu’une classe du collège Marthe Simard a pu se joindre à l’école Barbara et à une classe du collège Jacques Monod. Près de 300 enfants accompagnés de leurs enseignants ont fait de cette fête un évènement intergénérationnel fantastique. Mais, tout cela n’aurait pas pu se produire sans l’aide des techniciens du Centre Culturel. Merci à tous.

 

Ouverture du spectacle par Mme Caroline Digard  adjointe au Maire

 

La première partie débute par la chorale des Citadines avec : ” Aline ” puis ” For me formidable ” et ” Foule sentimentale “.

 

La classe du collège Marthe Simard entre en scène avec ” Soulman ” puis ” Né quelque part “, ” La vie en rose ” ( accompagnée de la chorale des Citadines ), ” Hit the road Jack “.

” La vie en rose “

 

Première interprétation en solo :  Juliette avec ” La tendresse “, ” Qui a le droit “, ” Aimer à perdre la raison “.

 

La classe représentative du collège Jacques Monod intervient à son tour avec :  ” Aladin-Nuit d’Arabie “, ” Tournent les violons “, ” La grenade “.

 

Nouveau solo avec Bernard : ” J’ai oublié de l’oublier “, ” Portrait de Norman Rockwell” ( mimée par Claudine ), ” Sur la route de Memphis “, ” La dernière séance”.

 

Un entracte de 10mn permet aux enseignants et aux enfants de l’école Barbara de s’installer pour présenter un extrait de leur conte musical ” Un poirier m’a dit “.

Les décors, la mise en scène, les récits, les chants : tout est une magnifique réussite.

 

Après cette prestation, un problème technique interrompt un moment le déroulement du spectacle.

Intervention efficace des techniciens

Ouf, c’est réparé. En scène Dominique, avec ” Laura “, puis Claudine, avec  “Maintenant “, et le duo Dominique-Bernard, avec ” Le cimetière des éléphants ” !

 

Retour de la chorale du collège Marthe Simard : ” Ella, elle a “, ” Quelque chose de Tennessee ” avec Bernard, ” Stand by me “, ” Parce qu’on vient de loin ”

La chorale des Citadines accompagne leur dernière prestation d’une petite pointe d’humour. A leur apparition, un tonnerre d’applaudissements souligne combien l’originalité de leur ” look ” est appréciée.

” Poupée de cire, poupée de son “, ” Paroles. Paroles ” avec Bernard, ” Ma préférence “.

 

Accompagné par le public, Bernard interprète son dernier solo : ” Ma main au feu ” ,  ” J’ai besoin d’un ami “et ” On veut des légendes “.

 

La chorale du collège Jacques Monod clôture cette grande manifestation intergénérationnelle : ” Dégage “, ” Toute la musique que j’aime “.

 

En remerciement pour leur participation, chaque élève reçoit un petit ballotin de friandises, confectionné par Lydia.

 

 

 

 

 

Petit attroupement à 7 heures du matin sur le parking du Centre Culturel… Que se passe-t-il ??? C’est simplement le rassemblement de membres de l’association ” Les Citadines de Villeparisis ” pour une sortie en covoiturage. En route pour Giverny ! Le soleil est de la partie.

Arrivés sur place, nous commençons par aller prendre un petit café sur la terrasse du restaurant ” Les nymphéas ” où nous déjeunerons plus tard. Nous voilà en forme pour démarrer la visite de la maison de Claude Monet et de son jardin. Bien qu’il soit tôt et que nous ayons nos billets d’entrée, une longue file d’attente s’étend devant nous. Courage ! Enfin nous arrivons sur le site et l’enchantement commence.

 

 

Retour d’abord sur le passé.

Grâce à l’achat, par son ami Caillebotte, de quelques uns de ses tableaux, Claude Monet peut acquérir à Giverny, en 1883, une petite demeure appelée ” maison du pressoir ” .

Monet l’agrandit de chaque côté pour pour en faire une longère de 40 m de long sur 5 m de large. Toutes les fenêtres donnent sur le jardin. Une seule exception dans la chambre d’Alice où se trouve aussi une fenêtre sur la rue.

Après sa mort en 1926, c’est sa belle-fille Blanche Hoschedé qui veille sur la propriété.

Suite aux bombardements de la seconde guerre mondiale, la maison est très abimée mais, grâce à des dons généreux en majorité américains, elle est restaurée.

 

Nous pénétrons dans cette maison pleine de souvenirs par la porte de gauche qui ouvre sur l’atelier de Claude Monet. De là, nous accédons au premier étage.

 

Chambre de C.Monet

 

 

Petite pièce entre les 2 chambres ( 2 entrées )

 

 

Fenêtre sur rue

Fenêtre sur jardin

Chambre d’Alice

 

 

Allée centrale avec les ifs , couverte d’arceaux sur lesquels courent les rosiers

Vues prises de fenêtres du premier étage

 

Après avoir admiré la chambre d’Alice, nous prenons un escalier qui nous ramène au rez-de-chaussée. Nous atteignons alors la salle à manger jaune flamboyant ( couleur voulue par Monet ), puis la cuisine attenante.

Coup d’oeil sur les rosiers le long de la balustrade

 

La salle à manger

 

La cuisine

 

Sortons par ” la porte de service ” et partons admirer ce jardin entièrement imaginé par Monet !

Mais avant, quelques explications…

Le jardin est divisé en deux parties : le clos normand et le jardin d’eau.

En 1883, le terrain s’étend de la maison jusqu’à la route. Il est planté de vergers et une allée centrale ombragée par des sapins le traverse. Monet fait abattre les sapins et ne conserve que les deux ifs près de la maison. Il transforme alors le jardin en riches perspectives, en symétries et en couleurs. Il assemble les fleurs en fonction de leurs couleurs et les laisse pousser librement.

En 1893, Monet achète le terrain voisin de l’autre côté de la voie de chemin de fer. Ce dernier est traversé par un petit cours d’eau. Monet y fait creuser un premier bassin. Autour il y cultive nénuphars, roseaux et iris de différentes variétés. Par la suite, il l’agrandira en s’inspirant des jardins japonais qu’il connait par les estampes japonaises dont il est grand collectionneur.

Fleurs d’ail

 

Pavots, roses violettes, …

Iris en premier plan

Iris de couleurs variées

 

Nous quittons un moment le clos pour découvrir le jardin d’eau. L’accès se fait par un souterrain qui passe sous la route. A son époque, Monet, muni de son chevalet et de ses peintures, devait franchir la voie de chemin de fer et traverser le chemin du Roy. Toute une aventure !

 

La forêt de bambous

Après le franchissement du petit cours d’eau, le bassin principal apparaît.

Pivoine

Rhododendron rouge

Saules-pleureurs et nymphéas

 

Digitales

 Quelques découvertes en suivant la berge

 

A chaque pas de nouvelles plantes, de nouvelles compositions de couleurs mais, soudain, apparaît le plus célèbre lieu immortalisé par ” 45 ” oeuvres de Monet … Le pont japonais sur lequel courent les glycines. Ce dernier a du être reconstruit par une entreprise de Vernon, par contre les glycines qui s’y trouvent actuellement ont été plantées par Monet.

Mais poursuivons la promenade !

Pavot et Juliennes

Cela reste beau grâce à leur travail

Peu après nous retrouvons l’entrée d’un souterrain qui nous ramène dans le clos normand.

Pivoines simples

Des roses anciennes ( donc très odorantes )

 

L’heure du rendez-vous au restaurant approche. Il est temps de quitter ce lieu d’émerveillement pour nos yeux et, maintenant, de penser à nos papilles.

Bon appétit à tous !!!

 

 

A la sortie du restaurant, grande réunion pour faire le point sur le choix de chacun pour organiser le temps libre. Une idée est proposée : prolonger par une promenade à la Roche- Guyon et son château. Finalement, seule une partie du groupe part vers l’église Sainte Radegonde et la tombe de Claude Monet.

 

Eglise Sainte-Radegonde

L’église est d’origine romane et sa partie la plus ancienne date de la fin du 10ème siècle. Le reste de l’édifice a été construit entre le 14ème et le 16ème siècle.

Lors de sa restauration, entre 2008 et 2010, des éléments peints ont été révélés.

 

Dans le choeur : peinture en bois du 17ème

A gauche : statue en pierre de Ste Radegonde

Vitrail contemporain de Sainte Radegonde

 

Dans le cimetière attenant à l’église, près du chevet, se trouve la tombe de Monet. Le dessus est couvert d’une multitude de fleurs évoquant celles de son jardin.

 

C’est Monet qui a acquis cette grande concession en 1891 pour y faire enterrer Ernest Hoschedé (1er mari d’Alice ).

Puis suivront : Suzanne Hoschedé ( 1899 ), sa deuxième femme Alice ( 1911 ), son fils Jean Monet ( 1914 ), Monet lui-même ( 1926 ), Blanche épouse de Jean ( 1947 ), Gabrielle femme de son plus jeune fils Michel ( 1961 ). Le dernier à y être inhumé est Michel en 1966.

 

Mais, maintenant, laissons ce beau village et ses souvenirs et reprenons les voitures pour nous rendre au château de La Roche-Guyon.

Situé sur la rive droite de la Seine, adossé depuis le Moyen Âge à la falaise de craie, cette ancienne forteresse s’est métamorphosée au fil des siècles.

Le château est relié au donjon médiéval qui le domine par un souterrain creusé dans la roche.

 

 

 

Pour terminer agréablement cette belle journée, allons nous rafraîchir à une terrasse au bord de la Seine.

 

L’établissement, le bien nommé, ” Les berges de la Seine “

Quelques uns d’entre nous y ont dégusté un jus de pomme local. Quel régal !

 

Quelques vues de la Seine prises d’un promontoire

 

Il faut songer, hélas, à abandonner cet agréable endroit…

 

Au revoir

 

PS : un grand merci aux chauffeurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le risque de pluie et le petit volume de plantes au début, vers 14h30 tout s’est arrangé. Le ciel a viré progressivement du gris sombre et pluvieux du matin au grand soleil deux heures plus tard.

A ce moment, avec la présence d’une dizaine de Citadines et de quelques exposants extérieurs dont un nouveau très fourni et intéressant, l’étal s’est soudainement bien achalandé.. En plus des habitués, de nombreux visiteurs venus là à l’occasion des autres ateliers de la Journée de la Terre ont découvert notre Troc et sont repartis avec quelque chose.

De belles rencontres ont été faites dans l’ambiance habituelle sympathique et conviviale.

 

 

 

 

 

 

Pour terminer ce bel après-midi, les participants ont pu prendre une petite collation : café, thé et gâteaux.

 

Merci à Lydia, Zorhia, Juliette et Christiane qui nous ont régalés de leurs thés, cafés et gâteaux faits maison.

Merci aux équipes municipales pour leur implication pour nous.

 

P-S : texte de Gérald ; photos de Lydia, Christiane et Gérald

 

 

 

Retour en ce 30 mars, d’une manifestation intergénérationnelle que les membres de l’association apprécient particulièrement : l’Arbre mémoire. Un Gingko biloba, planté en 2004, en est le symbole.

 

Cette année, nous avons, une nouvelle fois, le plaisir d’accueillir des enfants de l’école Barbara et de la Gabrielle.

Tout le monde étant installé, la réunion commence par un moment très attendu : la découverte de son ou sa correspondante. En janvier, chaque élève de la classe  d’Emmanuelle a confectionné et rédigé une carte de voeux pour  chaque membre des Citadines, à laquelle chacun et chacune a répondu.

 

 

 

Dans le cadre de ” la semaine des poètes “, la rencontre se poursuit par la lecture de sept poèmes écrits par le poète de l’association, Gérard Cazé.

 

 

Un agréable intermède suit avec des chants de la chorale de l’école Barbara à laquelle des enfants de la Gabrielle se sont joints.

Puis c’est au tour de la directrice et d’Emmanuelle de lire des poèmes créés par les enfants

 

Les membres des Citadines écoutent à nouveau, toujours avec le même plaisir, quelques chansons.

 

Un beau final

 

Après cette belle représentation, les enfants ont prévu une surprise… Remettre une rose à chacun de leur correspondant !

 

 Profitons de cet éclatant soleil pour faire la photo souvenir !

 

Avant de repartir, venez reprendre des forces ! Christiane, Danielle, Evelyne, Ginette, Jocelyne, Lydia et Marie-Thérèse vous ont préparé plein de bonnes choses. Il y en a pour tout le monde.

 

Attendez les enfants ! A notre tour de vous faire une surprise… Des petits sacs de friandises, confectionnés par Danielle et Lydia, vont vous être remis en souvenir de ce bel après-midi.

 

L’heure de se quitter a sonné. En route !

” Au revoir “

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Attention ! La cloche a retenti. La représentation va commencer…

 

 

Silence ! Les comédiens entrent en scène…

 

Attaque d’une banque ( Claudine, Nathalie, Eveline, Simone B, Simone T )

 

Toto turbulant ( Eliane, Gérald )

 

La conductrice d’un camion ( Simone T, Eveline ) La demande en mariage ( Simone B, Nathalie, Claudine )

 

La voleuse de poule ( Eliane, Simone T ) A une réception ( Claudine, Eveline, Gérald )

 

La condamnée à mort ( Claudine, Eveline, Nathalie, Simone B, Simone T, Gérald )

 

Perdue dans la forêt ( Eveline, Nathalie ) Deux amies bavardent ( Simone B, Simone T, Nathalie )

 

Charité ( Eveline, Gérald, Claudine )

 

Sous la Tour Eiffel (Claudine, Eveline, Nathalie, Simone B, Simone T, Gérald )

 

Bravo! Bravo!

 

Accident sur la route (Eveline, Nathalie )

 

 

Au bureau ( Simone T, Claudine, Gérald )

 

Anniversaire ( Nathalie, Gérald )

 

 

Vie au paradis ( Simone T, Simone B ) Besoin d’un emprunt ( Eliane, Gérald )

 

L’homme invisible ( Claudine, Simone B, Eveline )

 

Dans la cour d’un asile ( avec toute la troupe )

 

C’est fini…

 

 

 

Eliane et sa troupe sont chaleureusement applaudies

Quelle représentation !!! Une telle qualité est le fruit d’un grand travail. Encore bravo.

 

Pour prolonger cet agréable moment, allons déguster les succulentes crêpes préparées par Evelyne, Zoria, Christiane et Danièle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tradition oblige, après la réunion plénière du mois de janvier, c’est la dégustation des galettes.

Les galettes sont chaudes, nous allons pouvoir les couper.

… mais certains travaillent encore

 

L’heure de la distribution approche

 

Un petit verre de cidre pour accompagner ? Attention : n’avaler pas la fève !

 

Vive la Reine !

 

 

 

Il est de retour… Mais qui ? Plutôt quoi? Le temps de déguster avec les ami(e)s le Beaujolais nouveau !

Pour faire honneur à cet événement, tout commence par la mise en place d’une belle table. Comme chaque année, un petit groupe de Citadines y a réfléchi et a créé les décorations. Admirons leur travail…

 

 

 

Préparations de l’apéritif

 

 

 

Tout est prêt. Les festivités peuvent commencer. Malheureusement, malades, Juliette et Evelyne, qui ont tant oeuvré pour composer le repas, n’y participeront pas.

 

 

 

 

 

 

Le repas se termine mais il manque quelque chose pour que la fête soit complète… le récital de Bernard.

” Bernard, Bernard, Bernard… ” Nos demandes le décident.

 

 

Après ces belles chansons si bien interprétées, il faut se dire ” Au revoir “.

Avant de partir, quelques Citadines restent pour participer aux corvées : vaisselles, rangements et nettoyages des lieux.

Merci à tous ceux et toutes celles qui ont fait de cet événement une belle réussite.