Il est 8h. Les 16 participants et participantes sont là. Répartissons nous dans les véhicules et en route !

Quel brouillard !!! Dans la traversée de certains villages, c’est à peine si nous distinguons les murs des maisons.

Une petite pause dans un café à Crépy-en-Valois est la bienvenue.

Mais il est temps de repartir et d’aller à la découverte du château de Compiègne. et de son histoire.

 

Nous récupérons les audio-guides pour la visite

Début de la visite Salle des colonnes

Escalier d’honneur avec une rampe en fer forgé du 18 ème

Salle des huissiers qui commandaient l’accès de l’appartement du roi

Avant de poursuivre la visite, un point sur l’histoire de ce château ( commentaire de Françoise ) :

Louis XV a subitement envie d’un nouveau château pour la chasse sans doute, la forêt n’est pas loin. Il confie cette tâche à Gabriel, son architecte préféré, puis n’y pense plus.

Son successeur, Louis XVI, commence les aménagements, achète des meubles.

Patatras, c’est la révolution ! Le château est pillé puis il tombe dans l’oubli jusqu’à ce que Napoléon 1er se souvienne qu’il existe, pas très loin de Paris, un château où l’on pouvait se loger. Joséphine s’en occupe : un très beau salon orné de peintures du célèbre Redouté ( le peintre des roses ) est exécuté. Divorce de Napoléon…, il faut un endroit pour recevoir la nouvelle épouse, l’autrichienne Marie-Louise. On commande en hâte une petite salle à manger où le jeune couple prendra ses repas et deux chambres solennelles, une très rouge pour l’Empereur et une virginale pour l’Impératrice.

Encore patatras ! L’Empereur abdique. Le château est de nouveau négligé. Malgré tout, Louis-Philippe y fait aménagé une chapelle pour le mariage de sa fille avec le roi des Belges.

Le second empire apporte la gloire pour Compiègne. Napoléon III et l’impératrice Eugénie tiennent salon. Tout le “gratin” y est invité, s’installe dans les fauteuils confortables, les causeuses à trois places et autres ( tables de jeux…).

Seulement le 19 ème siècle n’est pas un siècle de tout repos, au revoir l’Empereur, bonjour la 3 ème république qui profite de la grande salle de bal, voulue par Napoléon 1 er, pour y organiser les repas somptueux où sont conviés les maires de France.

Mais 1914, le temps de la guerre arrive. Cette magnifique salle sert alors à accueillir les blessés. Actuellement, on y voit encore les traces des roulettes des lits.

À notre époque, ce château est devenu un musée.

La salle à manger de L’Empereur, le 1er mai 1814 Louis XVIII y reçut le tzar Alexandre

Salon des Aides de Camp ou salon des Cartes sous Napoléon III, mobilier du Premier et Second Empire; jeux : palets, billard japonais

 

Salon de famille, mélange de styles rappelant le goût de Joséphine : fauteuils Louis XV, sièges à deux ou trois places ( “confidents”, “indiscrets” )

 

Chambre de l’Empereur : frise représentant des aigles, mobilier de Jacob Démalter

 

Découvrons maintenant les appartements de l’Impératrice.

Salon du Déjeun de l’Impératrice

 

Salon de musique ou salon de thé : installé pour l’Impératrice, Louis Pasteur y fût reçu

 

Chambre de l’Impératrice, le boudoir rond qui ouvre sur la chambre servait de salle d’atours et de bains

 

Salon des dames d’honneur : sièges installés à “l’étiquette” autour d’un canapé

 

Salle à manger de l’Impératrice où Napoléon 1er et l’archiduchesse Marie-Louise prirent leur premier repas ensemble

 

Galerie des Cerfs Meuble dans lequel étaient maintenus au chaud les plats en attendant d’être servis

 

Galerie du Bal : les peintures du plafond glorifient les victoires de l’Empereur

 

La chapelle : la fille ainée de Louis-Philippe, Louise-Marie, y épousa le roi des belges, Léopold 1er   ( 9 août 1832 )

 

La visite est terminée. En voiture tout le monde ! Après cette plongée dans le passé, l’étape suivante… ” la ferme du Carendeau “, pour réjouir nos papilles et reprendre des forces.

 

Avec un déjeuner à la fois délicieux et copieux, nous voilà prêt pour l’exploration du village de Saint Jean-aux-bois  avec l’aide d’une guide.

Ce village médiéval est à l’origine de la chanson ” Mon amant de Saint Jean ” composée par Émile Carrara en 1937 à l’auberge ” À la bonne idée “

Ses habitants sont appelés les “solitaires “. Curieux n’est-ce-pas ?. En fait, à la Révolution, le village a pris le nom de ” Solitude “.

Petit pont qui enjambe le ru des Planchettes

Après avoir franchi la porte fortifiée, nous découvrons, sur la droite, la rue des Abbesses qui forme un cercle de maisonnettes autour de l’abbatiale.

Notre guide nous explique que l’abbaye a été fondée en 1152 par la reine Adélaïde de Savoie afin d’y établir une communauté de soeurs bénédictines (40 religieuses ) . En 1634, les religieuses échangent leur monastère avec les chanoines réguliers de l’abbaye de Royallieu de Compiègne. En 1652, les troupes de Turenne ( ralliées à la Fronde ) ravagèrent l’abbatiale.  En 1761, c’est la fin du prieuré et l’abbatiale est transformée en église paroissiale.

Dans le creux : un tombeau gothique

 

Faisons le tour de l’église pour atteindre la salle capitulaire. C’est dans cet espace que le “chapitre” se réunissait pour, par exemple, mettre en place les tâches réservées aux “concrets”.

À gauche, l’église Entrée de la salle capitulaire Vierge à l’enfant sculptée par Mr Muguet, artiste régional

La salle

Pénétrons maintenant dans l’église

 

Dès la porte franchie, nous sommes frappés par l’élégance de cet édifice due, probablement à la hauteur sous voute ( 15m ). La hauteur et l’étroitesse des baies contribuent à cette impression d’élancement. Grâce à l’absence de bas-côtés, les baies peuvent descendre plus bas.

 

Fonds baptismaux : les pieds sont des Anges et entre des vagues d’eau

Statue de Saint Jean-Baptiste

Église à plan cruciforme

Choeur au chevet plat en une seule travée

Vitraux en grisaille

La guide fait remarquer la sobriété de la Nef : les clés de voutes sont décorées de feuillages tous différents; au-dessus de l’autel : vitrail de la passion. Dans le choeur, à  gauche, un bâtiment où vivaient les religieuses y était contigüe.

Dans le transept sud

En 2010, l’association “Des orgues pour Saint Jean-aux-bois” voit le jour. Grâce à cela, l’orgue est créé et, en 2015, le concert inaugural a lieu. Cet orgue extraordinaire comprend : 1000 tuyaux en alliage d’étain et de plomb, 10 jeux à tuyaux classiques, 3 claviers, un pédalier et des jeux numériques.

Après la visite de l’église, nous nous dirigeons vers la porte de la cour ferme mais, au préalable, nous faisons un arrêt pour admirer la place  ( ancien étang asséché ) entourée de maisonnettes.

Porche vouté avec chambre à l’étage

Vue après la porte

Un petit tour dans le village…

Nous retrouvons la rue des Abesses

Rue des Abesses

 

L’heure de quitter ce joli village approche, mais, avant de retourner aux voitures, une dernière découverte : le lavoir, qui se situait près de l’ancien moulin, a été conservé et restauré.

 

 

 

 

 

Comme chaque année, cette manifestation intergénérationnelle est attendue avec impatience aussi bien par tous les membres de l’association que par les Villeparisiens, petits et grands. Après une semaine de pluie, l’inquiétude est grande pour ce samedi. Mais, bonne surprise, le soleil est de la partie !

La foule grandit devant le Centre Culturel où se font les inscriptions et la constitution des équipes. Quel brouhaha ! Pas facile d’entendre les noms des participants pour les inscrire. 

Ouf ! Les équipes se forment. Les 14 équipes ( 101 participants de 3 à 84 ans ) partent à la découverte de la ville… Mais pour cela, il faut résoudre les énigmes, trouver les mots de passe en rapport avec ” Les inventions et innovations technologiques du XXème siècle qui ont changé notre vie “.

Un petit en-cas à l’arrivée est bien agréable.

L’arrivée

 

En attendant que toutes les équipes aient terminé le parcours, les premiers arrivés discutent, remplissent la grille de mots croisés réalisée par Gérard, profitent du soleil tandis que les enfants découvrent les jeux apportés par le personnel de la ludothèque.

 

 

Toutes les équipes sont présentes. Le Maire, Mr Bouche, et la conseillère départementale, Mme Abreu, nous ont rejoints.

 

L’heure du tirage de la tombola approche mais avant, Bernard, le président de notre association, rassemble tout le monde dans le jardin pour quelques discours.

Tout d’abord, il remercie Mr Bouche et Mesdames Abreu et Digard pour leur fidèle participation, puis nos sponsors sans lesquels notre tombola n’existerait pas; un dernier remerciement pour nos partenaires : la Maison des jeunes et la ludothèque. IL rappelle aussi que la sécurité du parcours du circuit est assurée , comme chaque fois, par la police municipale.

des membres de la ludothèque

 

Ensuite, il donne la parole à Mme Abreu, Mme Digard et Mr Bouche. Tous expriment leur grande satisfaction de participer à cette belle rencontre intergénérationnelle.

 

Le moment du tirage de la tombola est arrivé ! 

Bernard propose à deux enfants d’y procéder.

 

Un des 40 sacs à dos confectionnés par Danielle contenant plusieurs lots

 

Pendant que les derniers participants s’éloignent, deux Citadines préparent notre apéritif-dinatoire pour clôturer cette journée.

 

La table se remplit…

 

 

Un moment convivial pour terminer une belle manifestation …

 

Comme chaque année, la saison de nos manifestations débute par notre participation au Forum des Associations qui se tient au parc Balzac. A cette occasion, nous pouvons  faire découvrir les buts et les différentes activités de notre association.

Dans notre stand, des panneaux  permettent de renseigner les personnes intéressées mais surtout, au cours de la journée, les Citadines sont là pour les accueillir chaleureusement.

 

 

 

 

 

 

Les panneaux…

 

 

 

Nous voilà de retour à l’étang de Maulny pour notre pique-nique.

Contrairement aux jours précédents, plus besoin des parapluies ! Les tables peuvent être installées sous les arbres.

Un vrai régal pour les yeux ! Admirez ces fleurs joliment disposées. Mais résisteront-elles à la chaleur ? Regardez-les bien… Pas d’inquiétude. Elles sont fausses. Plus d’un s’y tromperont.

Un moment de repos bien mérité

Peu à peu, les participants arrivent. Voilà Mr le Maire qui, à notre grand plaisir, va partager notre repas.

Passons à l’apéritif ! Il est temps de déguster ces délicieux amuse-gueules préparés par quelques membres des Citadines

Arrivée de Mme Digard

Après une telle mise-en-bouche, nous avons hâte de découvrir la suite.

 

Un petit aperçu des plats que, grâce à cuisinier et cuisinières, nous pouvons savourer: salade tunisienne, taboulé, salades piémontaises, salade de pâtes, salade d’haricots verts, salade de carottes.

Encore une ou deux photos entre amies…

…et, comme chacun sait ” même les meilleures choses ont une fin “, c’est l’heure de débarrasser les tables, enlever les nappes, rassembler les chaises et plier les tables.

 

 

Une belle journée !!!

 

 

PS : un grand merci à Evelyne, Dominique, Danielle, Laasad, Jocelyne, Juliette, Gérald, Bernard, Jacqueline et Claudine.

 

 

 

 

Un grand rassemblement devant le Centre Culturel Prévert se forme dès sept heures moins le quart ce 28 mai. Une manifestation si matinale ??? Mais non, c’est la grande sortie de l’année pour notre association et à 7h le car se met en route pour Saint Valéry-sur-somme.

Etant donné la pluie qui persiste depuis plus d’une semaine, pouvons-nous espérer une accalmie ? Quand nous arrivons à la place du Jeu du Battoir, le guide pour la visite de la cité médiévale est bien présent pour nous accueillir mais la pluie aussi. Elle sera notre compagne de voyage pour toute la journée !

 

Quelques mots au préalable sur la ville de Saint-Valery :

– un passé maritime depuis le Moyen-Age avec un essor au XVIIIème

port commercial florissant avec la construction d’un entrepôt de sel dans les années 1730 mais à la fin du 18ème l’ensablement de la baie réduit la profondeur du port et la suppression de l’impôt de la gabelle met fin à cette activité

grâce au développement des lignes ferroviaires en 1858, la ville devient une station balnéaire, activité toujours actuelle.

2500 habitants recensés mais ce nombre triple en période estivale; grâce à la limitation des constructions nouvelles, la ville conserve son charme.

 

Nous nous arrêtons un instant devant une plaque commémorative en l’honneur de Jeanne d’Arc. Elle rappelle qu’en décembre 1430 Jeanne d’Arc, prisonnière, a été amenée du Crotoy à Saint Valery pour y être emprisonnée.

Avant de pénétrer dans la cité par la Porte de Nevers ( ou porte du bas ), admirons les remparts évoquant le passé de ” ville forte ” de cette ville.

 

La porte franchie, nous empruntons un passage qui débouche sur le remparts hauts de 23m.

Sur la droite, l’église Saint-Martin classée monument historique en 2022

Au-dessus, construction effectuée afin de permettre au curé de se rendre du presbytère à l’église sans risquer de se faire attaquer

L’esplanade

La baie de Somme

 

Quelques mots sur l’église Saint-Martin située sur les remparts de la ville et qui veille sur la Baie de la Somme: 

– en 1475 elle fût entièrement incendiée sous les ordres de Louis XI afin que la ville ne soit pas livrée aux Anglais ( guerre contre Charles le Téméraire ).

– reconstruite entre le 15ème siècle et 1559.

– remarquable par ses murs en damier, alternant silex taillés et pierres.

– sa structure architecturale : roman et gothique.

Entre les deux arcades: échiquier, signature du tailleur de silex

Partie épargnée par l’incendie

 

– sa particularité : elle possède deux nefs jumelles.

 

Sur la tribune de l’orgue ( construit au 16ème, restauré au 17ème et 18ème, reconstruit à la fin du 19ème ), la fresque représente une partie de la tapisserie de Bayeux. Elle rappelle qu’en 1066 Guillaume le Conquérant ( Guillaume II ), alors Duc de Normandie s’embarqua à Saint Valery  avec 12 000 hommes, 800 marins et 2500 chevaux pour conquérir l’Angleterre ( bataille d’Hastings ).

 

Vitrail de Ste Marie-Madeleine

Vitrail de St François d’assise

Statue en bois de la Vierge à l’enfant : à l’origine sculptée comme figure de proue d’où son long cou

La chapelle des marins avec des ex-voto marins ( miniatures de bateaux )

 

Situé entre ces deux chapelles, le tableau du haut représente l’apparition du moine Gualaric à Hugues Capet dans un rêve : il lui aurait demandé de récupérer ses reliques et de les ramener à Saint Valéry; il lui promettait alors que lui et sa descendance jusqu’à la cinquième génération seraient roi de France.

Un peu d’histoire : en 611, le moine Gualaric (Walaric, puis Walric et finalement Valery ) est venu évangéliser la région d’où la présence, par la suite, de ses reliques. Il était réputé pour ses talents de guérisseur.

 

Tableau montrant Hugues Capet, en 981, passant le gué de Blanquetaque avec une centaine de soldats pour s’emparer des reliques du moine

Ces fonds baptismaux sont les vestiges de l’ancienne église

Avant de poursuivre la visite de la cité, un dernier regard sur l’église : une tour massive épaulée de contreforts, une toiture pyramidale qui a remplacé en 1786 une toiture en flèche.

Nous partons alors à la découverte du charme des rues jardin, des maisons colorées.

maison avec mur en damier ce qui permet de penser que sa construction est contemporaine de la restauration de l’église St Martin

Pendant la guerre 39-45, les allemands ont occupé l’ancien Hôtel de police et construit un abri souterrain en face : actuellement sous cette pelouse

Vue sur le chenal de la Somme

Rue jardin

 

Après cette belle promenade, et après avoir dit ” adieu ” à notre excellent guide, nous rejoignons notre car à la place du Jeu du Battoir. Quel bien-être ! Nous sommes à l’abri jusqu’à l’approche du restaurant. Encore quelques pas sous la pluie et nous voilà au restaurant ” Les Bains “.

 

 

Séchés et restaurés, nous pouvons faire un petit tour dans les environs.

Passage reliant la rue de la Ferté au quai Blavet

 

Vers le large

Sur la pointe : feu fixe ( ou lanterne ) d’entrée du port

Estuaire de la Somme à marée montante

 

 

Quelques maisons colorées

 

Nous revoilà devant la terrasse du restaurant

 

Mais l’heure tourne. Il est temps, pour ceux qui vont faire la promenade en bateau, de rejoindre le quai d’embarquement.

 

Les Intrépides sur le quai d’embarquement

 

Notre bateau

Un peu plus loin sur le quai

 

Vues prises de la plateforme arrière

 

Excepté un courageux photographe, nous nous réfugions à l’intérieur…

 

La grue du baliseur : chaque jour, le baliseur vérifie les balises du chenal, parfois il faut en redresser une  ou même en remplacer une

Au cours de la traversée, le capitaine nous signale la présence de phoques sur tribord. Certains ont la chance d’apercevoir au loin une petite tête avant qu’elle ne disparaisse dans l’eau.

Le bateau vire de bord, nous prenons le chemin du retour…

 

Tout le monde descend !

La journée s’achève. Nous partons vers le lieu du rendez-vous avec notre car où nous retrouvons le groupe des marcheurs. En route pour Villeparisis !

 

 

P-S : Merci à Dominique, Evelyne, Laasad, Gérald et Madeleine pour leurs contributions à cet article.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Changement d’emplacement pour notre troc aux plantes… Dans le cadre de la participation de notre association au mois de l’environnement, nous voici installés sur le parking François Mitterrand, devant l’école Barbara. A quelques mètres de nous, les services techniques municipaux et SIGIDURS font une distribution gratuite de compost pour les villeparisiens . A voir la file de voitures qui se forme devant le stand pendant que  les membres des Citadines apportent et installent leurs plantes, c’est un franc succès.

Fait rare pour cette manifestation, le soleil n’est pas au rendez-vous mais l’enthousiasme et l’énergie des Citadines sont toujours là.

Que de plantes !!!

Une contribution, très généreuse, de Truffaut et une, toute aussi importante, des Citadines permettent aux jardiniers amateurs de disposer d’un grand choix pour leurs échanges.

 

 

Oh là là… La pluie s’invite… Malgré cela, la fréquentation de notre stand ne s’en trouve pas pour autant diminuée.

 

 

Mais le temps passe. Il va falloir se dire ” au revoir “… Attendez, avant de se quitter. Juliette, Zoria et Christiane vous ont préparé café, thé et gâteaux. Par ce triste temps, voilà de quoi se réconforter !

 

 

 

Rendez-vous au prochain troc…

 

Quelques rappels…

Il y a 20 ans notre association et la municipalité de l’époque plantaient un Ginkgo-Biloba, derrière les nouveaux locaux techniques, pour se remémorer les évènements ayant marqué le Monde ou, tout simplement, Villeparisis pendant  l’année écoulée. Une nouvelle tradition pour les Citadines était née.

Mais pourquoi avoir choisi cet arbre comme Arbre-mémoire ?

Serait-ce une référence aux médicaments tirés de cet arbre et supposés lutter contre les maladies de la mémoire ?

Ce peut être aussi une référence à l’âge de son espèce, qui aurait 270 millions d’années. Le ginkgo, épargné par les glaciations, a été rapporté de Chine, où il avait survécu, et planté à Utrecht par son découvreur en 1740. Sa culture se répand dans toute l’Europe au XIXème siècle.

Il est aussi appelé ” l’arbre aux 40 écus ” ou ” l’arbre aux abricots “. Ses feuilles passent du vert clair au début de la saison au doré incandescent à l’automne.

Autre particularité, lui seul a résisté à l’explosion de la bombe à Hiroshima alors qu’il se trouvait à 1km de l’épicentre de l’explosion.

 

Chaque année, désormais, en compagnie d’un(e) représentant(e) de la Municipalité et de classes d’une école primaire, les membres des Citadines organisent cette manifestation festive.

L’école Barbara, représentée par deux classes, la Gabrielle avec leurs accompagnatrices et Mme Digard, adjointe au Maire, étaient présentes pour perpétuer cette tradition.

En janvier 2024, chaque membre des Citadines a été très touché de recevoir une carte de voeux créée et rédigée par un ou une élève de classes de l’école Barbara. Chacun(e) y a répondu avec plaisir. C’est dans un joyeux ” brouhaha ” qu’a eu lieu la découverte de son ou sa correspondante.

 

 

 

Après le discourt de bienvenue et de présentation par notre président Bernard, Claudine, Lydia, Jocelyne et Marie-Thérèse ont lu un poème de notre poète Gérard.

” Le gland “ ” Villeparisis “ ” Scènes d’hiver “ ” Je m’en vais par les prés “

 

L’adjointe au Maire, Mme Caroline Digard a exprimé sa joie d’assister à cette rencontre intergénérationnelle.

 

Tous et toutes se sont ensuite présentés et ont fait part de leurs nombreuses passions sportives ou autres.

 

A la fin de ce tour d’horizon, chaque enfant a remis une carte et une jolie rose à sa correspondante ou son correspondant.

Ce bel après-midi s’est achevé par la dégustation de délicieux gâteaux. Un grand merci à nos pâtissières !

 

 

” Attendez les enfants ! Ne partez pas sans votre sachet de friandises confectionnés par Lydia et Danielle. “

 

 

Présentation de notre Livre d’or et d’un sachet de friandises Quelques dédicaces

 

Quelques précisions de dernières minutes apportées par Juliette : L’Arbre-mémoire a été planté le 17 novembre 2004 par les jeunes élus du CCE pour sceller, pour des millénaires, l’amitié entre toutes les générations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans les coulisses, c’est l’effervescence. Les spectateurs sont installés.  Le spectacle peut commencer…

 

La responsable de l’atelier vient d’abord présenter le programme de cette séance.

Il comprend deux parties.

Dans la première, les artistes présenteront des extraits d’une pièce du dramaturge, metteur en scène et acteur français Frédéric Sonntag. Une vision glaçante d’un monde futur sous surveillance permanente d’un pouvoir en est le thème. Le monde sombre dans la folie.

Dans la deuxième, des extraits de différentes oeuvres de l’acteur, dramaturge, metteur en scène, réalisateur et scénariste Jean-Michel Ribes y figurent. Entre autres, nous y verrons ” Les brèves de comptoir “, recueil de “perles” de piliers de comptoir écrit par J-M Gourio et adapté au théâtre par Jean-Michel Ribes.

 

La première partie se compose de trois extraits : En de bonnes mains, Un contrôle sévère, Les surveillants surveillés.

Mais silence, les acteurs entrent en scène…

 

 La deuxième partie.

 ” Les rumeurs “.

Au début, un homme demande un renseignement à une femme. Un témoin de la scène décrit l’évènement à une personne qui , à son tour, le raconte à une autre qui…

…La peur grandit et conduit au drame

 

” Modigliani “

 

” Les brèves de comptoir “

 

Hélas, la représentation s’achève. Un tonnerre d’applaudissements retentit.

Remerciements des acteurs

 

Quoi de plus sympathique, après un si agréable spectacle, que de partager de bonnes galettes.

 

Nos félicitations à Eliane, Claudine, Gérald, Nathalie, Simone et Dominique pour la qualité de leur interprétation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Simone était appréciée de tous et elle va nous manquer.

Elle participait à tout, s’intéressait à tout !

Elle connaissait tous ces textes au ” petit théâtre “,

Avec sa casquette de pâtissière, elle nous régalait de ses cakes aux olives, de ses succulentes génoises …,

Toujours présente aux rencontres intergénérationnelles,

Ensuite jardinière les mains dans la terre avec les enfants des écoles,

Passionnée de travaux créatifs, elle décorait les tables de réception festives,

Et puis elle ne ratait jamais l’atelier relaxation qu’elle appréciait particulièrement car, en effet au bout de 3′ on l’entendait ronronner…

Quant à l’atelier tricot- goûter, on n’a jamais su si elle venait tricoter, crocheter … ou goûter…

Une perle de p’tite bonne femme !

 

 

 

Quelques souvenirs en images de notre amie Simone…

Année 2017

Fête intergénérationnelle : l’Arbre-mémoire Fête du beaujolais

 

Année 2018

Représentation de l’atelier théâtre Représentation de l”atelier théâtre Pique-nique à l’étang

 

Au repas de fin d’année: avec sa fille Nathalie

 

Année 2019

Représentation de l’atelier théâtre Représentation théâtrale Troc aux plantes de printemps

 

Année 2020

Représentation de l’atelier théâtre

 

Année 2021

Aux 15 ans de l’association Au repas de fin d’année

 

Année 2022

Les membres de l’atelier relaxation
Décoration de la table pour le beaujolais
Repas de fin d’année : arrivée au restaurant

 

Année 2023

Au cours de la représentation de l’atelier théâtre

à l’Arbre-mémoire Préparation du pique-nique

24 juillet : fête surprise pour ses 90 ans

Sortie à Lille ( octobre ) Au repas du Beaujolais nouveau ( novembre )

 

 

Au revoir Simone…

 

 

 

 

 

 

 

Une fois encore, les citadines en charge de la décoration ont créé un ensemble élégant et accueillant.

Cette belle présentation n’est que le prélude.

Quelques derniers préparatifs

Notre cuisinier

Tout est prêt ! La fête du Beaujolais peut commencer…

Discours de bienvenue et de remerciements de Bernard à Mr Bouche et Mmes Grossi, Digard et Pélabère

Discours de Monsieur Le Maire

 

Malheureusement, à leur grand regret, les emplois du temps de Mr Bouche et Mmes Grossi et Digard ne leur permettent pas de se joindre à nous pour le repas.

 

Une dernière goutte de café ou de thé pour terminer un excellent repas et c’est dans une joyeuse ambiance que vaisselle et rangement clôturent notre fête du Beaujolais.