Nous voilà de retour à l’étang de Maulny pour notre pique-nique.

Contrairement aux jours précédents, plus besoin des parapluies ! Les tables peuvent être installées sous les arbres.

Un vrai régal pour les yeux ! Admirez ces fleurs joliment disposées. Mais résisteront-elles à la chaleur ? Regardez-les bien… Pas d’inquiétude. Elles sont fausses. Plus d’un s’y tromperont.

Un moment de repos bien mérité

Peu à peu, les participants arrivent. Voilà Mr le Maire qui, à notre grand plaisir, va partager notre repas.

Passons à l’apéritif ! Il est temps de déguster ces délicieux amuse-gueules préparés par quelques membres des Citadines

Arrivée de Mme Digard

Après une telle mise-en-bouche, nous avons hâte de découvrir la suite.

 

Un petit aperçu des plats que, grâce à cuisinier et cuisinières, nous pouvons savourer: salade tunisienne, taboulé, salades piémontaises, salade de pâtes, salade d’haricots verts, salade de carottes.

Encore une ou deux photos entre amies…

…et, comme chacun sait ” même les meilleures choses ont une fin “, c’est l’heure de débarrasser les tables, enlever les nappes, rassembler les chaises et plier les tables.

 

 

Une belle journée !!!

 

 

PS : un grand merci à Evelyne, Dominique, Danielle, Laasad, Jocelyne, Juliette, Gérald, Bernard, Jacqueline et Claudine.

 

 

 

 

Un grand rassemblement devant le Centre Culturel Prévert se forme dès sept heures moins le quart ce 28 mai. Une manifestation si matinale ??? Mais non, c’est la grande sortie de l’année pour notre association et à 7h le car se met en route pour Saint Valéry-sur-somme.

Etant donné la pluie qui persiste depuis plus d’une semaine, pouvons-nous espérer une accalmie ? Quand nous arrivons à la place du Jeu du Battoir, le guide pour la visite de la cité médiévale est bien présent pour nous accueillir mais la pluie aussi. Elle sera notre compagne de voyage pour toute la journée !

 

Quelques mots au préalable sur la ville de Saint-Valery :

– un passé maritime depuis le Moyen-Age avec un essor au XVIIIème

port commercial florissant avec la construction d’un entrepôt de sel dans les années 1730 mais à la fin du 18ème l’ensablement de la baie réduit la profondeur du port et la suppression de l’impôt de la gabelle met fin à cette activité

grâce au développement des lignes ferroviaires en 1858, la ville devient une station balnéaire, activité toujours actuelle.

2500 habitants recensés mais ce nombre triple en période estivale; grâce à la limitation des constructions nouvelles, la ville conserve son charme.

 

Nous nous arrêtons un instant devant une plaque commémorative en l’honneur de Jeanne d’Arc. Elle rappelle qu’en décembre 1430 Jeanne d’Arc, prisonnière, a été amenée du Crotoy à Saint Valery pour y être emprisonnée.

Avant de pénétrer dans la cité par la Porte de Nevers ( ou porte du bas ), admirons les remparts évoquant le passé de ” ville forte ” de cette ville.

 

La porte franchie, nous empruntons un passage qui débouche sur le remparts hauts de 23m.

Sur la droite, l’église Saint-Martin classée monument historique en 2022

Au-dessus, construction effectuée afin de permettre au curé de se rendre du presbytère à l’église sans risquer de se faire attaquer

L’esplanade

La baie de Somme

 

Quelques mots sur l’église Saint-Martin située sur les remparts de la ville et qui veille sur la Baie de la Somme: 

– en 1475 elle fût entièrement incendiée sous les ordres de Louis XI afin que la ville ne soit pas livrée aux Anglais ( guerre contre Charles le Téméraire ).

– reconstruite entre le 15ème siècle et 1559.

– remarquable par ses murs en damier, alternant silex taillés et pierres.

– sa structure architecturale : roman et gothique.

Entre les deux arcades: échiquier, signature du tailleur de silex

Partie épargnée par l’incendie

 

– sa particularité : elle possède deux nefs jumelles.

 

Sur la tribune de l’orgue ( construit au 16ème, restauré au 17ème et 18ème, reconstruit à la fin du 19ème ), la fresque représente une partie de la tapisserie de Bayeux. Elle rappelle qu’en 1066 Guillaume le Conquérant ( Guillaume II ), alors Duc de Normandie s’embarqua à Saint Valery  avec 12 000 hommes, 800 marins et 2500 chevaux pour conquérir l’Angleterre ( bataille d’Hastings ).

 

Vitrail de Ste Marie-Madeleine

Vitrail de St François d’assise

Statue en bois de la Vierge à l’enfant : à l’origine sculptée comme figure de proue d’où son long cou

La chapelle des marins avec des ex-voto marins ( miniatures de bateaux )

 

Situé entre ces deux chapelles, le tableau du haut représente l’apparition du moine Gualaric à Hugues Capet dans un rêve : il lui aurait demandé de récupérer ses reliques et de les ramener à Saint Valéry; il lui promettait alors que lui et sa descendance jusqu’à la cinquième génération seraient roi de France.

Un peu d’histoire : en 611, le moine Gualaric (Walaric, puis Walric et finalement Valery ) est venu évangéliser la région d’où la présence, par la suite, de ses reliques. Il était réputé pour ses talents de guérisseur.

 

Tableau montrant Hugues Capet, en 981, passant le gué de Blanquetaque avec une centaine de soldats pour s’emparer des reliques du moine

Ces fonds baptismaux sont les vestiges de l’ancienne église

Avant de poursuivre la visite de la cité, un dernier regard sur l’église : une tour massive épaulée de contreforts, une toiture pyramidale qui a remplacé en 1786 une toiture en flèche.

Nous partons alors à la découverte du charme des rues jardin, des maisons colorées.

maison avec mur en damier ce qui permet de penser que sa construction est contemporaine de la restauration de l’église St Martin

Pendant la guerre 39-45, les allemands ont occupé l’ancien Hôtel de police et construit un abri souterrain en face : actuellement sous cette pelouse

Vue sur le chenal de la Somme

Rue jardin

 

Après cette belle promenade, et après avoir dit ” adieu ” à notre excellent guide, nous rejoignons notre car à la place du Jeu du Battoir. Quel bien-être ! Nous sommes à l’abri jusqu’à l’approche du restaurant. Encore quelques pas sous la pluie et nous voilà au restaurant ” Les Bains “.

 

 

Séchés et restaurés, nous pouvons faire un petit tour dans les environs.

Passage reliant la rue de la Ferté au quai Blavet

 

Vers le large

Sur la pointe : feu fixe ( ou lanterne ) d’entrée du port

Estuaire de la Somme à marée montante

 

 

Quelques maisons colorées

 

Nous revoilà devant la terrasse du restaurant

 

Mais l’heure tourne. Il est temps, pour ceux qui vont faire la promenade en bateau, de rejoindre le quai d’embarquement.

 

Les Intrépides sur le quai d’embarquement

 

Notre bateau

Un peu plus loin sur le quai

 

Vues prises de la plateforme arrière

 

Excepté un courageux photographe, nous nous réfugions à l’intérieur…

 

La grue du baliseur : chaque jour, le baliseur vérifie les balises du chenal, parfois il faut en redresser une  ou même en remplacer une

Au cours de la traversée, le capitaine nous signale la présence de phoques sur tribord. Certains ont la chance d’apercevoir au loin une petite tête avant qu’elle ne disparaisse dans l’eau.

Le bateau vire de bord, nous prenons le chemin du retour…

 

Tout le monde descend !

La journée s’achève. Nous partons vers le lieu du rendez-vous avec notre car où nous retrouvons le groupe des marcheurs. En route pour Villeparisis !

 

 

P-S : Merci à Dominique, Evelyne, Laasad, Gérald et Madeleine pour leurs contributions à cet article.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Changement d’emplacement pour notre troc aux plantes… Dans le cadre de la participation de notre association au mois de l’environnement, nous voici installés sur le parking François Mitterrand, devant l’école Barbara. A quelques mètres de nous, les services techniques municipaux et SIGIDURS font une distribution gratuite de compost pour les villeparisiens . A voir la file de voitures qui se forme devant le stand pendant que  les membres des Citadines apportent et installent leurs plantes, c’est un franc succès.

Fait rare pour cette manifestation, le soleil n’est pas au rendez-vous mais l’enthousiasme et l’énergie des Citadines sont toujours là.

Que de plantes !!!

Une contribution, très généreuse, de Truffaut et une, toute aussi importante, des Citadines permettent aux jardiniers amateurs de disposer d’un grand choix pour leurs échanges.

 

 

Oh là là… La pluie s’invite… Malgré cela, la fréquentation de notre stand ne s’en trouve pas pour autant diminuée.

 

 

Mais le temps passe. Il va falloir se dire ” au revoir “… Attendez, avant de se quitter. Juliette, Zoria et Christiane vous ont préparé café, thé et gâteaux. Par ce triste temps, voilà de quoi se réconforter !

 

 

 

Rendez-vous au prochain troc…

 

Quelques rappels…

Il y a 20 ans notre association et la municipalité de l’époque plantaient un Ginkgo-Biloba, derrière les nouveaux locaux techniques, pour se remémorer les évènements ayant marqué le Monde ou, tout simplement, Villeparisis pendant  l’année écoulée. Une nouvelle tradition pour les Citadines était née.

Mais pourquoi avoir choisi cet arbre comme Arbre-mémoire ?

Serait-ce une référence aux médicaments tirés de cet arbre et supposés lutter contre les maladies de la mémoire ?

Ce peut être aussi une référence à l’âge de son espèce, qui aurait 270 millions d’années. Le ginkgo, épargné par les glaciations, a été rapporté de Chine, où il avait survécu, et planté à Utrecht par son découvreur en 1740. Sa culture se répand dans toute l’Europe au XIXème siècle.

Il est aussi appelé ” l’arbre aux 40 écus ” ou ” l’arbre aux abricots “. Ses feuilles passent du vert clair au début de la saison au doré incandescent à l’automne.

Autre particularité, lui seul a résisté à l’explosion de la bombe à Hiroshima alors qu’il se trouvait à 1km de l’épicentre de l’explosion.

 

Chaque année, désormais, en compagnie d’un(e) représentant(e) de la Municipalité et de classes d’une école primaire, les membres des Citadines organisent cette manifestation festive.

L’école Barbara, représentée par deux classes, la Gabrielle avec leurs accompagnatrices et Mme Digard, adjointe au Maire, étaient présentes pour perpétuer cette tradition.

En janvier 2024, chaque membre des Citadines a été très touché de recevoir une carte de voeux créée et rédigée par un ou une élève de classes de l’école Barbara. Chacun(e) y a répondu avec plaisir. C’est dans un joyeux ” brouhaha ” qu’a eu lieu la découverte de son ou sa correspondante.

 

 

 

Après le discourt de bienvenue et de présentation par notre président Bernard, Claudine, Lydia, Jocelyne et Marie-Thérèse ont lu un poème de notre poète Gérard.

” Le gland “ ” Villeparisis “ ” Scènes d’hiver “ ” Je m’en vais par les prés “

 

L’adjointe au Maire, Mme Caroline Digard a exprimé sa joie d’assister à cette rencontre intergénérationnelle.

 

Tous et toutes se sont ensuite présentés et ont fait part de leurs nombreuses passions sportives ou autres.

 

A la fin de ce tour d’horizon, chaque enfant a remis une carte et une jolie rose à sa correspondante ou son correspondant.

Ce bel après-midi s’est achevé par la dégustation de délicieux gâteaux. Un grand merci à nos pâtissières !

 

 

” Attendez les enfants ! Ne partez pas sans votre sachet de friandises confectionnés par Lydia et Danielle. “

 

 

Présentation de notre Livre d’or et d’un sachet de friandises Quelques dédicaces

 

Quelques précisions de dernières minutes apportées par Juliette : L’Arbre-mémoire a été planté le 17 novembre 2004 par les jeunes élus du CCE pour sceller, pour des millénaires, l’amitié entre toutes les générations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Simone était appréciée de tous et elle va nous manquer.

Elle participait à tout, s’intéressait à tout !

Elle connaissait tous ces textes au ” petit théâtre “,

Avec sa casquette de pâtissière, elle nous régalait de ses cakes aux olives, de ses succulentes génoises …,

Toujours présente aux rencontres intergénérationnelles,

Ensuite jardinière les mains dans la terre avec les enfants des écoles,

Passionnée de travaux créatifs, elle décorait les tables de réception festives,

Et puis elle ne ratait jamais l’atelier relaxation qu’elle appréciait particulièrement car, en effet au bout de 3′ on l’entendait ronronner…

Quant à l’atelier tricot- goûter, on n’a jamais su si elle venait tricoter, crocheter … ou goûter…

Une perle de p’tite bonne femme !

 

 

 

Quelques souvenirs en images de notre amie Simone…

Année 2017

Fête intergénérationnelle : l’Arbre-mémoire Fête du beaujolais

 

Année 2018

Représentation de l’atelier théâtre Représentation de l”atelier théâtre Pique-nique à l’étang

 

Au repas de fin d’année: avec sa fille Nathalie

 

Année 2019

Représentation de l’atelier théâtre Représentation théâtrale Troc aux plantes de printemps

 

Année 2020

Représentation de l’atelier théâtre

 

Année 2021

Aux 15 ans de l’association Au repas de fin d’année

 

Année 2022

Les membres de l’atelier relaxation
Décoration de la table pour le beaujolais
Repas de fin d’année : arrivée au restaurant

 

Année 2023

Au cours de la représentation de l’atelier théâtre

à l’Arbre-mémoire Préparation du pique-nique

24 juillet : fête surprise pour ses 90 ans

Sortie à Lille ( octobre ) Au repas du Beaujolais nouveau ( novembre )

 

 

Au revoir Simone…

 

 

 

 

 

 

 

Une fois encore, les citadines en charge de la décoration ont créé un ensemble élégant et accueillant.

Cette belle présentation n’est que le prélude.

Quelques derniers préparatifs

Notre cuisinier

Tout est prêt ! La fête du Beaujolais peut commencer…

Discours de bienvenue et de remerciements de Bernard à Mr Bouche et Mmes Grossi, Digard et Pélabère

Discours de Monsieur Le Maire

 

Malheureusement, à leur grand regret, les emplois du temps de Mr Bouche et Mmes Grossi et Digard ne leur permettent pas de se joindre à nous pour le repas.

 

Une dernière goutte de café ou de thé pour terminer un excellent repas et c’est dans une joyeuse ambiance que vaisselle et rangement clôturent notre fête du Beaujolais.

 

 

        Contrairement à l’an passé, c’est une trop grosse chaleur que les membres de l’association redoutent pour les participant(e)s du 22ème circuit pédestre.

        Actualité oblige, les mots de passe à trouver ont pour thème ” Les jeux olympiques ” et le parcours, au fil des énigmes, fait découvrir les sites sportifs de notre ville.

Passage d’une équipe à l’étape 4 ( piscine ) La onzième équipe

 

        Profitons de l’attente de l’arrivée de toutes les équipes pour “papoter ” ou pour faire quelques jeux grâce à la participation de la ludothèque.

 

       Toutes les équipes sont là.Tout le monde a pu reprendre des forces grâce aux goûters et boissons. Les préparatifs de la tombola s’achèvent…

 

         Bernard, président de l’association, remercie Mr Bouche, maire de Villeparisis, et Mme Abreu, conseillère départementale, pour leur présence et leur participation. Il remercie également, après les avoir nommés, tous les partenaires qui, chaque année, permettent d’organiser une tombola gratuite.

 

          Le tirage de la tombola commence. Chacun va repartir avec un lot mais qui aura le gros lot …

 

Le gros lot a été tiré. Qu’est-ce-que c’est? L’heureuse gagnante

 

          La manifestation est terminée. 

          Un apéritif, préparé par Evelyne, Lydia et Christiane, réunit tous ceux et toutes celles qui ont permis de réaliser un grand moment de convivialité.

 

 

 

 

 

 

 

L’étang de Maulny

Quoi de mieux pour se mettre dans l’ambiance des vacances qu’un pique-nique au bord de l’eau.

Petit à petit, les participant(e)s arrivent et découvrent les belles tables déjà installées.

 

Et les plats prennent place sous la tente…

 

… les réjouissances peuvent commencer.

 

Cette année, notre Maire, Mr Bouche, et Mme Digard nous font le plaisir de partager cet évènement festif.

 

 

 

 

 

A l’heure du thé ou café et des gâteaux

Il faut couper les gâteaux !

 

 

Débouchons le champagne et remplissons les verres, nous avons un évènement à souhaiter cette année

Bon anniversaire Evelyne !!!

 

Encore quelques discussions pour retarder le moment de se séparer…

…c’est fini.

 

 

 

Le grand jour est arrivé, l’aboutissement de dizaines d’heures de répétitions. L’émotion est à son comble cette année car … pour la première fois, la Fête de la Musique de l’association a lieu au Centre Culturel !!!

L’espace offert par cette salle a permis d’augmenter le nombre de participants. C’est ainsi qu’une classe du collège Marthe Simard a pu se joindre à l’école Barbara et à une classe du collège Jacques Monod. Près de 300 enfants accompagnés de leurs enseignants ont fait de cette fête un évènement intergénérationnel fantastique. Mais, tout cela n’aurait pas pu se produire sans l’aide des techniciens du Centre Culturel. Merci à tous.

 

Ouverture du spectacle par Mme Caroline Digard  adjointe au Maire

 

La première partie débute par la chorale des Citadines avec : ” Aline ” puis ” For me formidable ” et ” Foule sentimentale “.

 

La classe du collège Marthe Simard entre en scène avec ” Soulman ” puis ” Né quelque part “, ” La vie en rose ” ( accompagnée de la chorale des Citadines ), ” Hit the road Jack “.

” La vie en rose “

 

Première interprétation en solo :  Juliette avec ” La tendresse “, ” Qui a le droit “, ” Aimer à perdre la raison “.

 

La classe représentative du collège Jacques Monod intervient à son tour avec :  ” Aladin-Nuit d’Arabie “, ” Tournent les violons “, ” La grenade “.

 

Nouveau solo avec Bernard : ” J’ai oublié de l’oublier “, ” Portrait de Norman Rockwell” ( mimée par Claudine ), ” Sur la route de Memphis “, ” La dernière séance”.

 

Un entracte de 10mn permet aux enseignants et aux enfants de l’école Barbara de s’installer pour présenter un extrait de leur conte musical ” Un poirier m’a dit “.

Les décors, la mise en scène, les récits, les chants : tout est une magnifique réussite.

 

Après cette prestation, un problème technique interrompt un moment le déroulement du spectacle.

Intervention efficace des techniciens

Ouf, c’est réparé. En scène Dominique, avec ” Laura “, puis Claudine, avec  “Maintenant “, et le duo Dominique-Bernard, avec ” Le cimetière des éléphants ” !

 

Retour de la chorale du collège Marthe Simard : ” Ella, elle a “, ” Quelque chose de Tennessee ” avec Bernard, ” Stand by me “, ” Parce qu’on vient de loin ”

La chorale des Citadines accompagne leur dernière prestation d’une petite pointe d’humour. A leur apparition, un tonnerre d’applaudissements souligne combien l’originalité de leur ” look ” est appréciée.

” Poupée de cire, poupée de son “, ” Paroles. Paroles ” avec Bernard, ” Ma préférence “.

 

Accompagné par le public, Bernard interprète son dernier solo : ” Ma main au feu ” ,  ” J’ai besoin d’un ami “et ” On veut des légendes “.

 

La chorale du collège Jacques Monod clôture cette grande manifestation intergénérationnelle : ” Dégage “, ” Toute la musique que j’aime “.

 

En remerciement pour leur participation, chaque élève reçoit un petit ballotin de friandises, confectionné par Lydia.

 

 

 

 

 

Petit attroupement à 7 heures du matin sur le parking du Centre Culturel… Que se passe-t-il ??? C’est simplement le rassemblement de membres de l’association ” Les Citadines de Villeparisis ” pour une sortie en covoiturage. En route pour Giverny ! Le soleil est de la partie.

Arrivés sur place, nous commençons par aller prendre un petit café sur la terrasse du restaurant ” Les nymphéas ” où nous déjeunerons plus tard. Nous voilà en forme pour démarrer la visite de la maison de Claude Monet et de son jardin. Bien qu’il soit tôt et que nous ayons nos billets d’entrée, une longue file d’attente s’étend devant nous. Courage ! Enfin nous arrivons sur le site et l’enchantement commence.

 

 

Retour d’abord sur le passé.

Grâce à l’achat, par son ami Caillebotte, de quelques uns de ses tableaux, Claude Monet peut acquérir à Giverny, en 1883, une petite demeure appelée ” maison du pressoir ” .

Monet l’agrandit de chaque côté pour pour en faire une longère de 40 m de long sur 5 m de large. Toutes les fenêtres donnent sur le jardin. Une seule exception dans la chambre d’Alice où se trouve aussi une fenêtre sur la rue.

Après sa mort en 1926, c’est sa belle-fille Blanche Hoschedé qui veille sur la propriété.

Suite aux bombardements de la seconde guerre mondiale, la maison est très abimée mais, grâce à des dons généreux en majorité américains, elle est restaurée.

 

Nous pénétrons dans cette maison pleine de souvenirs par la porte de gauche qui ouvre sur l’atelier de Claude Monet. De là, nous accédons au premier étage.

 

Chambre de C.Monet

 

 

Petite pièce entre les 2 chambres ( 2 entrées )

 

 

Fenêtre sur rue

Fenêtre sur jardin

Chambre d’Alice

 

 

Allée centrale avec les ifs , couverte d’arceaux sur lesquels courent les rosiers

Vues prises de fenêtres du premier étage

 

Après avoir admiré la chambre d’Alice, nous prenons un escalier qui nous ramène au rez-de-chaussée. Nous atteignons alors la salle à manger jaune flamboyant ( couleur voulue par Monet ), puis la cuisine attenante.

Coup d’oeil sur les rosiers le long de la balustrade

 

La salle à manger

 

La cuisine

 

Sortons par ” la porte de service ” et partons admirer ce jardin entièrement imaginé par Monet !

Mais avant, quelques explications…

Le jardin est divisé en deux parties : le clos normand et le jardin d’eau.

En 1883, le terrain s’étend de la maison jusqu’à la route. Il est planté de vergers et une allée centrale ombragée par des sapins le traverse. Monet fait abattre les sapins et ne conserve que les deux ifs près de la maison. Il transforme alors le jardin en riches perspectives, en symétries et en couleurs. Il assemble les fleurs en fonction de leurs couleurs et les laisse pousser librement.

En 1893, Monet achète le terrain voisin de l’autre côté de la voie de chemin de fer. Ce dernier est traversé par un petit cours d’eau. Monet y fait creuser un premier bassin. Autour il y cultive nénuphars, roseaux et iris de différentes variétés. Par la suite, il l’agrandira en s’inspirant des jardins japonais qu’il connait par les estampes japonaises dont il est grand collectionneur.

Fleurs d’ail

 

Pavots, roses violettes, …

Iris en premier plan

Iris de couleurs variées

 

Nous quittons un moment le clos pour découvrir le jardin d’eau. L’accès se fait par un souterrain qui passe sous la route. A son époque, Monet, muni de son chevalet et de ses peintures, devait franchir la voie de chemin de fer et traverser le chemin du Roy. Toute une aventure !

 

La forêt de bambous

Après le franchissement du petit cours d’eau, le bassin principal apparaît.

Pivoine

Rhododendron rouge

Saules-pleureurs et nymphéas

 

Digitales

 Quelques découvertes en suivant la berge

 

A chaque pas de nouvelles plantes, de nouvelles compositions de couleurs mais, soudain, apparaît le plus célèbre lieu immortalisé par ” 45 ” oeuvres de Monet … Le pont japonais sur lequel courent les glycines. Ce dernier a du être reconstruit par une entreprise de Vernon, par contre les glycines qui s’y trouvent actuellement ont été plantées par Monet.

Mais poursuivons la promenade !

Pavot et Juliennes

Cela reste beau grâce à leur travail

Peu après nous retrouvons l’entrée d’un souterrain qui nous ramène dans le clos normand.

Pivoines simples

Des roses anciennes ( donc très odorantes )

 

L’heure du rendez-vous au restaurant approche. Il est temps de quitter ce lieu d’émerveillement pour nos yeux et, maintenant, de penser à nos papilles.

Bon appétit à tous !!!

 

 

A la sortie du restaurant, grande réunion pour faire le point sur le choix de chacun pour organiser le temps libre. Une idée est proposée : prolonger par une promenade à la Roche- Guyon et son château. Finalement, seule une partie du groupe part vers l’église Sainte Radegonde et la tombe de Claude Monet.

 

Eglise Sainte-Radegonde

L’église est d’origine romane et sa partie la plus ancienne date de la fin du 10ème siècle. Le reste de l’édifice a été construit entre le 14ème et le 16ème siècle.

Lors de sa restauration, entre 2008 et 2010, des éléments peints ont été révélés.

 

Dans le choeur : peinture en bois du 17ème

A gauche : statue en pierre de Ste Radegonde

Vitrail contemporain de Sainte Radegonde

 

Dans le cimetière attenant à l’église, près du chevet, se trouve la tombe de Monet. Le dessus est couvert d’une multitude de fleurs évoquant celles de son jardin.

 

C’est Monet qui a acquis cette grande concession en 1891 pour y faire enterrer Ernest Hoschedé (1er mari d’Alice ).

Puis suivront : Suzanne Hoschedé ( 1899 ), sa deuxième femme Alice ( 1911 ), son fils Jean Monet ( 1914 ), Monet lui-même ( 1926 ), Blanche épouse de Jean ( 1947 ), Gabrielle femme de son plus jeune fils Michel ( 1961 ). Le dernier à y être inhumé est Michel en 1966.

 

Mais, maintenant, laissons ce beau village et ses souvenirs et reprenons les voitures pour nous rendre au château de La Roche-Guyon.

Situé sur la rive droite de la Seine, adossé depuis le Moyen Âge à la falaise de craie, cette ancienne forteresse s’est métamorphosée au fil des siècles.

Le château est relié au donjon médiéval qui le domine par un souterrain creusé dans la roche.

 

 

 

Pour terminer agréablement cette belle journée, allons nous rafraîchir à une terrasse au bord de la Seine.

 

L’établissement, le bien nommé, ” Les berges de la Seine “

Quelques uns d’entre nous y ont dégusté un jus de pomme local. Quel régal !

 

Quelques vues de la Seine prises d’un promontoire

 

Il faut songer, hélas, à abandonner cet agréable endroit…

 

Au revoir

 

PS : un grand merci aux chauffeurs